viernes, 9 de octubre de 2020

Prix, valeur et signification des gouvernements de Correa, Moreno, Bucaram. Mahuad-Lasso, Gutiérrez.

 ANALYSE ÉCRITE: Si le prix est ce qui laisse des pertes ou des gains, valorisez ce qui est perçu comme bon ou mauvais et signifie ce qui est perçu comme bénéfique ou nuisible. alors nous pouvons identifier que le gouvernement de Rafael Correa était un gouvernement gagnant, ou avec des bénéfices car à la fin le pays a vu comment l'argent des impôts, des exportations ou des prêts internationaux est devenu quelque chose de perceptible, ce qui a augmenté la valeur de la terre, éducation, santé, amélioration des salaires, revenu familial, etc. Pour cette raison, ces 10 années ont été appelées la décennie gagnée.

Au contraire, le gouvernement de Lénine Moreno était un gouvernement dans lequel nous avons perdu des êtres humains pendant la pandémie, nous avons perdu des infrastructures héritées parce que les biens de l'État ont été privatisés, les infrastructures se sont détériorées, aucun travail significatif ou important n'a été vu, des emplois ont été perdus. le travail, les devises se sont échappées, le tourisme, les exportations, le commerce, l'industrie se sont détériorés, en raison du mauvais gouvernement, de la pandémie et des effets de la quarantaine et de la distanciation sociale. Le gouvernement Moreno, contrairement à d'autres gouvernements comme l'Uruguay ou la Nouvelle-Zélande, n'a pas géré la crise sanitaire avec de bonnes approches, en fait il y a eu corruption, vol de ressources, utilisation accrue de ce qui est disponible et des milliers de vies perdues . Pour cette raison, le gouvernement Moreno sera connu comme les pires années de l'histoire récente.

Dans le gouvernement de Jamil Mahuad, où Guillermo Lasso était le président du Conseil monétaire, le prix que le pays a payé pour ce mauvais gouvernement était la disparition de la monnaie, la faillite bancaire, la fraude de milliers d'Équatoriens en raison de vols et la fuite des banquiers et la grande perte de capital humain avec la plus grande vague d'émigrants équatoriens à l'étranger, ce qui signifiait que ce qui était investi dans la santé, la nourriture, l'habillement, l'éducation, et plus encore, pour que des millions d'Équatoriens soient productifs et heureux en le pays est parti en fumée. C'est pourquoi la décennie de 1996 où Abdala Bucaram est arrivé au pouvoir jusqu'en 2006, lorsque Rafel Correa remporte les élections pour la première fois, est appelée la pire décennie perdue, car il y avait une nouvelle constitution et 10 dirigeants, 4 seulement pendant des heures.

La valeur du gouvernement Rafael Correa se traduit par un bon gouvernement car le bien représentait plus que le mal, contrairement au gouvernement Moreno dans lequel il était l'inverse, tout comme les gouvernements d'Abdala Bucaram, Jamil Mahuad et Guillermo Lasso. , ou Lucio Gutiérrez.

Entre 1996 et 2006, l'Équateur a connu le pire depuis le retour des élections en 1979.

La signification du gouvernement Rafael Correa était quelque chose qui pour les Équatoriens représentait une manière différente de se voir, c'est-à-dire que vous pourriez être un grand être humain, et que les bons êtres humains en Équateur étaient plus que de mauvais êtres humains. .

¨ Au contraire, dans le gouvernement Moreno, nous en sommes venus à penser qu'il ne faut pas faire confiance à nos parents, nos amis ou connaissances. En Équateur, être traître, hypocrite, menteur, déloyal, espiègle, opportuniste ou aboyé est devenu synonyme d'intelligence et non pas de bêtise. Même être handicapé est devenu mieux que d'être en bonne santé, et les membres de l'Assemblée et les juges ont obtenu des cartes d'invalidité pour avoir des privilèges sans craindre de dire que s'ils n'avaient pas de handicaps évidents, leur handicap était sexuel et cela, ils l'ont dit sans honte à l'Assemblée nationale, les membres de l'assemblée qui représentaient leur province ou les juges qui prétendaient défendre la vérité mais pratiquaient le mensonge.

Dans les gouvernements de 1996 à 2006, y compris ceux de Bucaram, Mahuad et leur président du Conseil monétaire Guillermo Lasso et celui de Lucio Gutiérrez, tous écartés par des manifestations populaires, et l'intervention opportune de l'armée, étant opportuniste, voyou, un menteur corrompu était intelligent mais au moins être un traître était méprisable.

Aujourd'hui, Bucaram et Gutiérrez ont l'intention d'être à nouveau présidents, et d'effacer leur passé Lasso, ceux de Ruptura 25, Alianza País, Pachakutik, MPD et d'autres candidats anti-gouvernementaux qui ont transformé Moreno en un pseudo dictateur et une honte et une tragédie pour le pays.


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